Ses odeurs inoubliables
En sortant de chez moi ce matin de bonne heure
Je sentais la fumée du feu de bois d’ Automne
Je me suis dit pourquoi pas faire un écrit sur les odeurs
Il m’en est revenu a ma mémoire des tonnes
Comme la fraîcheur du matin d’Eté du mois de Septembre
Badigeonné de Vicks vaporub ou de l’essence algérienne
Quand je tremblais de fièvre de tous mes membres
La senteur d’un grog par ma bonne mamy Félicienne
Ou comme le pain cuit du boulanger le matin
Quand nous montions la rue pour aller a l’école
A cette classe qui sentait bon le bois de sapin
La craie, l’estrade, l’encre, le buvard et la colle
L’hiver nous jouions sur la place du village
Le Mercredi avec dans le nez la fumée de charbon
Nous rentrions à la maison crevés et en age
Le maroilles fondu sur du pain nous le dégustions
C’est a cette époque que j’ai découvert le goût du Liégeois
Du Ketchup, des berlingots Nestlé, des pâtes au beurre
Le lait chaud avec la peau tiré du pis pris avec du Banania
Nous passions devant le silo de pulpe fait par le cultivateur
IL revient a mes narines la pelouse fraîchement coupée au stade
Pour le match de foot du samedi contre des équipes adverses
Le camphre, les oranges a la mi temps et la sueur de mes camarades
Direction notre domicile par le bitume mouillé après l’averse
Le Dimanche matin, il y avait la flagrance d’après rasage du père
L’ odeur de cuisine de ma mère envahissait les murs de la maison
Pot au feu ou poule au pot cuit sur la bonne vieille cuisinière
Souvenirs qui remontent avec l’âge ou tout cela sentait bon
En sortant de chez moi ce matin de bonne heure
Je sentais la fumée du feu de bois d’ Automne
Je me suis dit pourquoi pas faire un écrit sur les odeurs
Il m’en est revenu a ma mémoire des tonnes
Comme la fraîcheur du matin d’Eté du mois de Septembre
Badigeonné de Vicks vaporub ou de l’essence algérienne
Quand je tremblais de fièvre de tous mes membres
La senteur d’un grog par ma bonne mamy Félicienne
Ou comme le pain cuit du boulanger le matin
Quand nous montions la rue pour aller a l’école
A cette classe qui sentait bon le bois de sapin
La craie, l’estrade, l’encre, le buvard et la colle
L’hiver nous jouions sur la place du village
Le Mercredi avec dans le nez la fumée de charbon
Nous rentrions à la maison crevés et en age
Le maroilles fondu sur du pain nous le dégustions
C’est a cette époque que j’ai découvert le goût du Liégeois
Du Ketchup, des berlingots Nestlé, des pâtes au beurre
Le lait chaud avec la peau tiré du pis pris avec du Banania
Nous passions devant le silo de pulpe fait par le cultivateur
IL revient a mes narines la pelouse fraîchement coupée au stade
Pour le match de foot du samedi contre des équipes adverses
Le camphre, les oranges a la mi temps et la sueur de mes camarades
Direction notre domicile par le bitume mouillé après l’averse
Le Dimanche matin, il y avait la flagrance d’après rasage du père
L’ odeur de cuisine de ma mère envahissait les murs de la maison
Pot au feu ou poule au pot cuit sur la bonne vieille cuisinière
Souvenirs qui remontent avec l’âge ou tout cela sentait bon