J'étais l'ancien, toi la nouvelle
Océan des âges entre nous
Pour moi pas question d'être fou
Tu étais trop jeune et trop belle
Mais il y avait l'amitié
Grande expérience pour bagage
J'étais censé vous l'enseigner
Pour vous je n'étais qu'un vieux sage
Tu fus vite ma préférée
Toi si studieuse et appliquée
Béat devant tes résultats
J'en étais dans tous mes états
Et ce qui devait arriver
arriva ! Une vraie tornade
A balayé nos préjugés
Et dés lors ce fut l'escalade !
L'amour se vit sans l'expliquer
Mis en garde sans insister
Nous faisions fi des réticences
Tout en restant dans la décence
Multipliant les apartés
Dans la ferveur de nos baisers
Nous avons brûlé dans les flammes
Et nous sommes aimés corps et âmes
Te souvient -il de ces moments
où nous voguions en pleine extase
Sans ressentir aucun tourment
Bonheur complet, première phase
Tu fus mon rayon de soleil
Une symphonie envoûtante
Notre passion était exaltante
Moments de bonheur sans pareil
Loin de nous la réalité
Elle nous a vite rattrapés
Car j'avais oublié mes chaînes
J'ai dû te faire de la peine…
Les bonnes langues ayant 'chanté'
Ce fut la fin des apartés
Nous courions toujours côte à côte
Tu disais : « ce n'est pas ta faute ! »
« Moi j'ai raté mon mariage
Je ne veux plus d'un copiage ! »
Je te disais : « mais pourtant
Refaire ta vie, il est temps »
Comme j'étais ton Pygmalion
Et que tu me portais aux nues
Tu en as été convaincue
Et nouvelles désillusions!
Malgré toi tu m'en as voulu
Nos rapports furent distendus
Mais vite, amitié retrouvée
Depuis elle est dans la durée
L'amitié perdure ou s'enfuit
De même que « les amours mortes »
S'effritant sans faire de bruit
Et souvent le temps les emporte
Mais les surprises de la vie
Peuvent faire à nouveau flamber
Des sentiments inhibés
Et dont le retour stupéfie
Les corps redeviennent volcans
Et l'amour comme un océan
Nous emporte sans ambages
Dans un grand bonheur sans nuages...
Tu le trouve beau ce poème
Et qu'après tout puisque l'on s'aime
Comme l'est un bijou précieux
Le montrer est encore mieux !
Jan
Océan des âges entre nous
Pour moi pas question d'être fou
Tu étais trop jeune et trop belle
Mais il y avait l'amitié
Grande expérience pour bagage
J'étais censé vous l'enseigner
Pour vous je n'étais qu'un vieux sage
Tu fus vite ma préférée
Toi si studieuse et appliquée
Béat devant tes résultats
J'en étais dans tous mes états
Et ce qui devait arriver
arriva ! Une vraie tornade
A balayé nos préjugés
Et dés lors ce fut l'escalade !
L'amour se vit sans l'expliquer
Mis en garde sans insister
Nous faisions fi des réticences
Tout en restant dans la décence
Multipliant les apartés
Dans la ferveur de nos baisers
Nous avons brûlé dans les flammes
Et nous sommes aimés corps et âmes
Te souvient -il de ces moments
où nous voguions en pleine extase
Sans ressentir aucun tourment
Bonheur complet, première phase
Tu fus mon rayon de soleil
Une symphonie envoûtante
Notre passion était exaltante
Moments de bonheur sans pareil
Loin de nous la réalité
Elle nous a vite rattrapés
Car j'avais oublié mes chaînes
J'ai dû te faire de la peine…
Les bonnes langues ayant 'chanté'
Ce fut la fin des apartés
Nous courions toujours côte à côte
Tu disais : « ce n'est pas ta faute ! »
« Moi j'ai raté mon mariage
Je ne veux plus d'un copiage ! »
Je te disais : « mais pourtant
Refaire ta vie, il est temps »
Comme j'étais ton Pygmalion
Et que tu me portais aux nues
Tu en as été convaincue
Et nouvelles désillusions!
Malgré toi tu m'en as voulu
Nos rapports furent distendus
Mais vite, amitié retrouvée
Depuis elle est dans la durée
L'amitié perdure ou s'enfuit
De même que « les amours mortes »
S'effritant sans faire de bruit
Et souvent le temps les emporte
Mais les surprises de la vie
Peuvent faire à nouveau flamber
Des sentiments inhibés
Et dont le retour stupéfie
Les corps redeviennent volcans
Et l'amour comme un océan
Nous emporte sans ambages
Dans un grand bonheur sans nuages...
Tu le trouve beau ce poème
Et qu'après tout puisque l'on s'aime
Comme l'est un bijou précieux
Le montrer est encore mieux !
Jan